Dès le morceau d’ouverture, I’m a gambler, on sent cette envie d’en découdre, de se retrouver à la table des plus grands. La voix qui pue la cendre froide et le whisky, les guitares gui traficotent des riffs directs et sans prétention autre que celle d’aller droit au but, la rythmique qui se pose comme un mur de briques…

La chronique complète sur : http://metal-eyes.com/one-last-shot-even-cowboys-have-sundays

 

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